On ne peut pas ne pas communiquer
Watzlawick, Beavin, Jackson
Ce terme est particulièrement polysémique, ordonnons-le un peu. Dominique Wolton a proposé de distinguer trois dimensions à ce mot. Tout d’abord, sa dimension anthropologique, qui permet d’insister sur le fait que les êtres humains sont des êtres sociaux, pour lesquels la communication est une dimension constituante. Ensuite, il y a l’usage des technologies de communication, des médias comme on ne le dit plus guère à l’âge du 2.0. Il y a enfin la communication comme une nécessité fonctionnelle dans nos sociétés complexes, que l’on évoque à propos de communication de crise ou des intrigues des « Spin doctors ». On aura compris que l’on va se rapporter ici à la dimension anthropologique du terme.
L’élaboration de ma thèse m’aura notamment permis d’approfondir les travaux d’un anthropo-linguiste : George LAKOFF, en articulant différents champs : cadres théoriques pour penser la communication entendue comme ci-dessus, situations de formation et approches systémiques. Des textes rédigés à cette occasion et dans d’autres encore, sont présentés ici.
La communication. Tout le monde pense savoir ce que c’est. C’est pourtant un objet d’étude qui a donné lieur à diverses productions théoriques. Et elles sont loin d’être équivalentes
L’anthropo-linguiste George Lakoff a fait des propositions passionnantes, reliant le langage, la culture et la cognition. On présente ici une partie de ses travaux et leurs implications.
Nombre de phénomènes sociaux peuvent être abordés sous l’angle communicationnel. On présente ici quelques contributions abordant l’un ou l’autre thème.